14 novembre 2012
3
14
/11
/novembre
/2012
15:23
Ce matin, à l'église du cavalier, beaucoup de monde était rassemblé auprès de toi, les présents physiquement et tous ceux qui n'ont pu venir mais qui étaient là par la pensée. Tu nous as quitté, trop tôt, parce que c'est toujours trop tôt. Les "anciens" de La Chaumontaise se souviennent de ta présence au club, en tant que maman d'abord avec Séverine puis Hélène comme gymnastes. Les années parisennes d'Hélène en haut niveau ne t'ont pas éloignées de nous. Tu étais présente en tant que juge, entraineur baby. |
| Nous n'oublierons pas ton sourire, et nous sommes de tout coeur avec Hélène et les siens |
|
|
|
Ce poème , pour Toi Hélène, et pour ta famille: "L'amour ne disparaît jamais ! La mort n'est rien. Je suis seulement passé dans la pièce à côté. Je suis moi, tu es toi. Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense à moi, prie pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié. Elle est ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t'attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre coté du chemin. Tu vois, tout est bien." St Augustin |
|
publié par LaP'titeSouris
-
dans
La Chaumontaise